les poémes d'ocb

Musique

Les cinq sens en éveil

Mon esprit se réveil

Rythme et son s’enchainent

Me font oublier ma peine

Mon cœur vibre

Comme un coup de calibre

Enivrer par la puissance

Mon âme entre en Trans

Le tempo me fait bouger la tète

Mon cerveau s’ouvre en fête

A cette mélodie douce ou forte

Mon corps s’emballe et se transporte

Ecoute les sons, l’imagination,

La liberté me fait sensation

Ma passion grandit avec mon plaisir

La musique est plus précieuse qu’un saphir

La musique se répand dans ma peau

Comme l’héroïne dans celle d’un toxico

Avenir

Mon avenir je ne le vois plus

Il s’éloigne dans le brouillard dru

Ma réussite est plus qu’hypothétique

Je voulais être blindé de fric

Depuis mes réflexions m’en ont dissuadé

Je n’ai plus envie de travailler  

Je vaux profiter de ma jeunesse

Faire la fête avant que ma vie ne cesse

Mon avenir il ne m’intéresse plus

Tel est la vérité simple et cru

je marche

Je marche avec ceux qui me suivent

Je marche avec ceux qui le savent

Je meurs et je gagne avec eux

Je perds er je vis avec eux

Ils sont du 16eme et de la banlieue  

ils veulent tous toucher les cieux

Ils sont fils de clandestins, descendant d’esclaves, anciennement colonisé

Ils sont fils de d’ouvrier de ritale de tsigane petit fils de déporté

Je marche avec eux car ils marchent avec moi

Ils représentent la France mieux qu’aucun parti

Tout comme moi ils ont perdus la foi

Mais ils ont décidé de profité de la vie

conflit

Jérusalem est ma patrie

Lutter contre l’impie

Qu’il soit non croyant

Ou qu’il soit musulman

Cela est mon quotidien

De mea shaarim je viens

Jérusalem est ma patrie

Lutter contre les colonies

Leur injustice et leurs  inégalités

Leurs supposée supériorité

Cela est mon quotidien

De Jérusalem est je viens

Jérusalem est ma patrie

Lutter contre la folie

Qu’elle vienne du Hamas

Ou du parti shass

Cela est mon quotidien

De tel Aviv je viens

Jérusalem est ma patrie

Lutter contre l’infamie

De la présence sioniste

Et de ceux qui suivent sa piste

Jérusalem est notre patrie

Lutter conte vos conneries

Qu’elle vienne des miens

Ou qu’elle vienne des palestiniens

Cela est mon quotidien

De pantin je viens

 prière

Oh éternel cebaot toi qui créa

Mille splendeurs toi qui est le roi

Explique moi donc pourquoi

Le monde va si mal ici-bas ?

Pourquoi est-ce le mal qui guide nos pas

Pourquoi est-ce le sang qui fait la loi

Revient, réveille-toi de ta longue torpeur

Revient faire régner la justice seigneur

Que ta lumière renaisse sur la montagne de Sion

Sauve nous des tréfonds

Oh seigneur si tu m’entends

Rétablit la perfection d’antan  

Soldat de dieu

Mon dieu donne-moi la force de continuer à aimer

Mon dieu donne-moi la force de lutter

Contre ces fous qui se prétendent pieux

la haine est la seule voie selon eux

la religion dans une main l’arme dans l’autre

Car il n’est pas de religion qui n’ait de fous apôtre

les miens font souvent preuve d’excès

sache que tout homme peut détenir une part de vérité

il n y a pas de  mécréant seulement des homme la recherchant

et tu ne peux obliger ton frère à suivre une voie en changeant

de religions et de valeur

ca toutes pensée peut être un leurre

mais aussi une pierre précieuse qui brille

ne voit tu pas ton cœur qui vacille

à chaque minute entre le claire et l’obscure

et que la balance penche au fur et à mesure

que ton esprit gagne en sagesse

et que s’éloigne la détresse

Fn

Toi qui ne prône que la haine

Toi qui profite de nos peines

Tu rampe lentement mais surement

Tu crache ton venin de serpent

Sur notre beau pays d’argent

Tu prévois un futur dément

Dans ton sillage sanglant

Tu entraines l’ignorant

Toi pour qui nos peuples, nos culture

N’ont pas leur place dans ton futur

Nique le Fn

Nique la haine

Vive la France

Celle la tolérance

Chaque jour quelque part

Dans une rue nulle part

Une nuit sans crier gare

Un coup de feu qui part

ghetto

Un soldat qui s’en va

Un ghetto qui se bat

Bien sur la vie d’en bas

Rien que des soldats

Mort pour la maille

Une sale racaille

Sans foi ni loi

Aux yeux du droit

Homme peut regretter sans  importance

Mort une deuxième fois de l’indifférence

Dédié à ce qui meurt chaque jour

Dans nos grises tours  

Attentats

Le sang et les larmes

Apportent la rage et les armes

La foule en panique

Puis cette fin tragique

Les cris de la victime

Le son du crime

Vérité crus et cruelle

Au coin d’une ruelle

Les corps sans vie

Jonchant la ville de la nuit

La ville des lumières

Transformer en prières  

Français dans mon cœur

Qu’importe la rancœur

Qu’importe la couleur

Black blanc beurre

Fraternité unité

Sur ton sol sacré

Quelle que soit mes penser

Au pays de la liberté